1. |
La fièvre du temps
03:39
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Est-ce vraiment la fin des temps
Est-ce que je vais revoir un autre printemps
La vie en couleur ou en noir et blanc
Est-ce que je vais sortir de ce labyrinthe à temps
Je suis perdu, je t’en supplie attends...
Ça me pogne dans les tripes, mais c’tellement pas trippant Tant de secrets que j’peux lancer aux vents
L’esprit en délire, je crois que j’ai la fièvre du temps
Le monde tourne
Mais personne n’est dans le même sens
Les gens s’en foutent
Leur monde tourne autour de leurs sens
L’économie roule
Roule et écrase tout sur son passage
Les gens s’en foutent
Pourvu qu’ils roulent dans leur mirage... --
Pourquoi se faire mal dans un mirage
Dans un monde rempli de sens
Pourvu qu’ils roulent dans leur mirage
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2. |
Un autre
05:11
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Une autre tonne de pétrole pompée hors de sa tête
Et noyée dans l’oubli caché au fond de sa mer
Une autre barre de chemtrail qui désacralise mon ciel
Et descend dans la nuit et s’évapore jusqu’à ma mort
Ma mort...Ma Mort...MA MORT
Un mensonge à dévoiler. Une vérité à cacher
Une autre corde à tirer sur ces poupées programmées
À mentir et bien paraitre pour notre supposé bien-être
Une autre balle dans leur camp pour achever les plus faibles
En connaissant leurs dépendances pour les garder dans la dance
La dance...La Dance...LA DANCE
L’amour à bombardement. L’amour à retardement
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3. |
Le Moule
03:06
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Je sens l’humanité
Comme un fleuve asséché
Filé, gardé au sec
Par peur de leurs complexes
Obsessionnellement
T’as l’air bien mais pourtant
Ce rire forcé, gardé
Sans air pour respirer
Didigitalisé
Nunumemerisé
Pucé, gardé, comblé
Plus c’est gardé contrôlé
Il rentre dans le moule
Inconnu dans la foule
Un rien, y’a rien qui coule
Dans sa tête trop lourde et sourde
Plus de liens familiaux
L’état éduque nos flos
Dans une mer d'idéaux
On vogue tous sur le même bateau
Choisi toi un bocal
Et reste-y jusqu'à
L’oubli  de la vie à
L’extérieur de cette vitre sale
Il rentre dans le moule
Inconnu dans la foule
Un rien, y’a rien qui coule
Dans sa tête trop lourde et sourde.
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4. |
Dans ta tête
05:12
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Hey! Toi là bas vient par ici va t’en par là
J’sais pas moi. Fait d’quoi de ta vie
Envoye let’s go botte toi l’cul qu’on finisse
Non! Pas comme ça! Passe mon ça!
C’pas ça que j’voulais dire…
Je l’sais ben, je l’sais ben trop.
C’était pas pour être méchant mais quand même.
Parfois j’me demande ce qui se passe dans ta tête
C’t’ un déclic, une étincelle
c’deux fils que se touche et tout s'enflamme
Me vois tu ? Dans ton brouillard de colère,
j’suis juste à coté de toi...…
Oh qu’est ce qu’on peut faire. Pour arrêter ces guerres
Oh qu’est ce qu’on peut faire, Pour arrêter ces guerres
Pour enlever la misère de cette pauvre terre
Comment j’pourrais t’le dire ?…
Oh qu’est ce qu’on peut faire. Pour qu’les nations cessent de se taire.
Oh qu’est ce qu’on peut faire pour qu’la conscience ressorte sur terre.
Redevenez des frères à tors ou à travers.
Sinon qu’est ce j’pourrais te redire.
Pourquoi chercher à l’extérieur quand tout est dans le cœur.
Pourquoi s’épuiser a n’en mourir quand on veut juste arrêter de souffrir.
Pourquoi chercher des questions quand on n’a pas assez de questions.
Parfois je m’demandais pourquoi quand j’avais juste besoin de toi.
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5. |
Le temps d'un Vie
03:47
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Une chandelle blanche
Brulée trop vite perdue dans la nuit
La froideur après l’incendie
Une vieille peur que l’on recherche encore
Inconscient,
L’esprit en brume sans lumière du jour
Le malaise d’être après la bêtise
Une vieille peur que l’on fuit encore
Le temps d’une vie, le temps d’apprendre
Le temps d’une vie, le temps de comprendre
Nos deux cœurs de glace
Réanimé par le grand coup d’hiver
Pense à moi et fais mon vivre
Jusqu’au fond de tes rêves les plus fous
Mon coeur rouge explosait ses couleurs
Mon artiste à l’abris de moi
Criait la vie, qu’il revendiquait.
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6. |
Subir
02:28
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Nous vivons dans une conscience relative et limitée par l'espace-temps. La vie moderne place les individus face à des défis de plus en plus complexes. La complexité se multiplie de plus en plus et notre espace-temps s'en trouve réduit, limité et compressé.
Ceci nous prive de notre spontanéité et liberté fondamentale. Ce manque de spontanéité pousse l'individu à agir de façon automatique et mécanique l'amenant à ne devenir plus que l'ombre de lui même.
Dans ce cercle vicieux, il se débat pour survivre plutôt que de vivre. De cette façon, l'être devient prisonnier de la consommation, de la luxure et des lois sociales et politiques qui le réduisent à une condition d'esclavage.
L'être maintenu dans une condition continu de stress et d'insécurité devient vulnérable à l'exploitation. Engourdi et étourdi par un rythme fou, n'ayant plus le temps de s'arrêter, il sombre dans le sommeil de l'ignorance de sa nature profonde, divine et fondamentale.
Ainsi, les êtres sont de plus en plus sujets à la frustration, à la dépression et à la schizophrénie.
Alors, qu'est ce qui va rester à la fin ? Plonge en toi et retrouve l'union avec cette conscience
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7. |
L'illusion
03:57
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Allez! Allez pince-moi
Essaye de me réveiller
Oh rien n’est sûr ici
Ou est-ce que le rêve continue?
Sortez-moi de l’illusion
Au-delà des limites de la raison
Sortez-moi de l’illusion
Au-delà des limites de la raison
Qu’on en finisse enfin avec
La confusion
L’attente de posséder
Mes sens saturés
Ma liberté brimée
L’attente de posséder
Mes sens saturés
Ma liberté brimée
Sortez-moi de l’illusion
Au-delà des limites de la raison
Sortez-moi de l’illusion
Au-delà des limites de la raison
Sortez-moi de l’illusion
Qu’on en finisse enfin avec La confusion
Bien installer dans ton univers connu
Tu crois aux règles bien calculées et parfois...
Parfois tu prends le temps d’entendre ton cœur crier!
La vérité veut exploser
Dans la vie y'a certaines choses qu'on ne peux cacher
Lance la clef et va la rechercher
Sortez-moi de l’illusion
Au-delà des limites de la raison
Sortez-moi de l’illusion
Au-delà des limites de la raison
Sortez-moi de l’illusion
Qu’on en finisse enfin avec La confusion
Le temps n’existe pas
Ta tête ne tourne pas
La vie un pas à la fois
Ohhhh l’illusion persiste...
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8. |
Le tout
05:59
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Une poussière du ciel
S’efface dans tes sommeils
Une poussière du ciel
S’efface dans tes sommeils
T’éloigne de la misère
Et t’aide à passer à travers
Ohh berce moi
Dans tes bars
Réconforte-moi
Amène-moi Avec toi
Une force extra cosmique
Dans un tout que l’on explique
Une force extra cosmique
Dans un tout que l’on explique
Fait vibrer toutes créations
Dans une mélodie à l'unisson
Ohh berce moi
Dans tes bras
Réconforte-moi
Amène-moi Avec toi
ॐ OM ॐ OM ॐ OM ॐ OM ॐ
Rentre dans la symphonie de la vraie vie
Libère toi de la grande illusion que fatigue
Tout est en pensée, compréhension et perception
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9. |
L'éternelle
03:59
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La beauté, l’éternelle la douceur coule en elle
La beauté, l’éternelle la douceur coule en elle
Un long souffle léger transporter son être
Et transperce mon âme vers l’infini inexploré
La profondeur de ces yeux ne se compare à aucuns cieux
Son parfum de fait qu’un dans mon corps un sors
La beauté, l’éternelle la douceur coule en elle
La beauté, l’éternelle la douceur coule en elle
Comme un sablier sacré avec elle le temps arrêté
L’envoutement du mythe avec elle l’inutile s’effrite
Elle est un hommage à la vie
Un tison ardent incandescent
Elle libère tellement à la fois
Dans mon cœur réchauffe l’univers
La beauté, l’éternelle la douceur coule en elle
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10. |
Devient qui Tu Es
06:36
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Après toutes ces guerres
En dessous des cendres
Ton essence cristallisée
Le début et la fin dans tes mains
Encore une chance d’apprendre
Un autre ne pense plus comme avant
Détaché, libéré d’esprit
Le début et la fin dans tes mains
Maintenant une nouvelle ère
Des limites sans frontière
Le réveille de ceux qui dorment
Les mécanique vides arrêtés
La conscience s’épanouie
L’Être se rempli du soi
Hari om ॐ Hari omॐ
Sans début ni sans fin tous divins
Maintenant une nouvelle ère
Des limites sans frontière
Le réveille de ceux qui dorment
Les mécanique vides arrêtés
!!! DEVIENT QUI TU ES !!!
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Shiv Dev Montreal, Québec
Shiv dev nous inspire/aspire dans son univers transdualiste.
Tant bien que mal, en suspens,
transcendant sur le bord du précipice.
Entre l’ombre et sa lumière, l’espace et son temps, la nature et la ville, la fille et le gars.
Comment séparer le sage de l’enfant sauvage?
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